Associez ces vers à la figure de style qui leur correspond: personnification, métaphore, comparaison, antithèse, allitération, anaphore, apostrophe. a) Tu me re
Question
a) Tu me regardais, dans ma nuit, Avec ton beau regard d'étoile,Qui méblouit (Victor HUGO)
b) Tout luit, tout bleuit, tout bruit.
Le jour est brûlant comme un fruit
Que le soleil fendille et cuit.
(Anna de NOAILLES)
c) Ô marâtre Nature, Puisqu'une telle fleur ne dure,Que du matin jusques au soir!
(Pierre de RONSARD)
d) Je vis, je meurs; je me brûle et me noie,
(Louis LABÉ)
e) Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine;
Puisque j'ai dans tes mains posé mon front pâli ;
Puisque j'ai respiré parfois la douce haleine
De ton âme, parfum dans l'ombre enseveli, (Victor HUGO) .
S'il vous plaît. Merci.
2 Réponse
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1. Réponse Hameline
Bonsoir ! J'espère vous aider !
Réponse :
Associez ces vers à la figure de style qui leur correspond : personnification, métaphore, comparaison, antithèse, allitération, anaphore, apostrophe.
a) Tu me regardais, dans ma nuit, Avec ton beau regard d'étoile, Qui m'éblouit (Victor HUGO)
→ métaphore
b) Tout luit, tout bleuit, tout bruit.
Le jour est brûlant comme un fruit
Que le soleil fendille et cuit.
(Anna de NOAILLES)
→ comparaison
→ allitération
c) Ô marâtre Nature, Puisqu'une telle fleur ne dure, Que du matin jusques au soir !
(Pierre de RONSARD)
→ personnification
→ apostrophe
d) Je vis, je meurs; je me brûle et me noie,
(Louis LABÉ)
→ antithèse
e) Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine;
Puisque j'ai dans tes mains posé mon front pâli ;
Puisque j'ai respiré parfois la douce haleine
De ton âme, parfum dans l'ombre enseveli, (Victor HUGO).
→ anaphore
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2. Réponse mariejoe57
Réponse :
bonjour
Explications :
a) Tu me regardais, dans ma nuit, Avec ton beau regard d'étoile,Qui méblouit (Victor HUGO) : mataphore
b) Tout luit, tout bleuit, tout bruit.: anaphore - allitération en 'uit"
Le jour est brûlant comme un fruit: comparaison
Que le soleil fendille et cuit.: personnification
(Anna de NOAILLES)
c) Ô marâtre Nature, Puisqu'une telle fleur ne dure,Que du matin jusques au soir! : apostrophe
(Pierre de RONSARD)
d) Je vis, je meurs; je me brûle et me noie,: antithèse
(Louis LABÉ)
e) Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine;
Puisque j'ai dans tes mains posé mon front pâli ;
Puisque j'ai respiré parfois la douce haleine : anaphore
De ton âme, parfum dans l'ombre enseveli, (Victor HUGO) .