Aidez moi svp c pour lundi : 7 Dans le texte suivant, relevez les phrases complexes par subordination. Encadrez en rouge la principale et encadrez en vert la su
Français
kibutsujii
Question
Aidez moi svp c pour lundi : 7 Dans le texte suivant, relevez les phrases
complexes par subordination. Encadrez en rouge
la principale et encadrez en vert la subordonnée.
Une phrase complexe peut mêler subordination
et coordination.
Pendant que les croissants achevaient de cuire,
Julien sortit les poubelles sur le trottoir et enleva les
volets de bois du magasin. Il faisait encore nuit, la
rue était presque déserte. Seuls la boulangerie et le
5 magasin du marchand de journaux étaient ouverts.
Un petit vent frais venait de la place Grévy et prenait la
rue en enfilade. Julien en aspirait de longues bouffées
et, chaque fois, il lui semblait qu'une grande joie
coulait en lui. Il se hâta de terminer pour retrouver
10 le laboratoire tout plein de bonne chaleur et de joie.
Lorsqu'il revint, le patron défournait les croissants.
Bernard Clavel, La Grande Patience, La Maison des autres
(1962) © Pocket.
complexes par subordination. Encadrez en rouge
la principale et encadrez en vert la subordonnée.
Une phrase complexe peut mêler subordination
et coordination.
Pendant que les croissants achevaient de cuire,
Julien sortit les poubelles sur le trottoir et enleva les
volets de bois du magasin. Il faisait encore nuit, la
rue était presque déserte. Seuls la boulangerie et le
5 magasin du marchand de journaux étaient ouverts.
Un petit vent frais venait de la place Grévy et prenait la
rue en enfilade. Julien en aspirait de longues bouffées
et, chaque fois, il lui semblait qu'une grande joie
coulait en lui. Il se hâta de terminer pour retrouver
10 le laboratoire tout plein de bonne chaleur et de joie.
Lorsqu'il revint, le patron défournait les croissants.
Bernard Clavel, La Grande Patience, La Maison des autres
(1962) © Pocket.
1 Réponse
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1. Réponse hirondelle52
Bonjour,
principale
subordonnée
Pendant que les croissants achevaient de cuire,
Julien sortit les poubelles sur le trottoir et enleva les
volets de bois du magasin. Il faisait encore nuit, la
rue était presque déserte. Seuls la boulangerie et le
magasin du marchand de journaux étaient ouverts.
Un petit vent frais venait de la place Grévy et prenait la
rue en enfilade. Julien en aspirait de longues bouffées
et, chaque fois, il lui semblait qu'une grande joie
coulait en lui. Il se hâta de terminer pour retrouver
le laboratoire tout plein de bonne chaleur et de joie.
Lorsqu'il revint, le patron défournait les croissants.