Histoire

Question

Bonjour :) Poutr chaque exytrait dire qui crie ? et dans quel condition ?

1) Lorsque la pierre m'a heurté le front, j'ai entendu les voix des villageois qui m'entouraient. '' Que veut-il ?'' '' C'est un fou.'' J'ai entendu le danger que j'étais. '' Maraudeur.'' '' Chassez-le.'' Et puis d'un coup une voix plus forte que les autres ont crié : '' C'est un déserter!'' Et les pierres se sont faites plus nombreuses. Comme une pluie drue que je ne pouvais éviter.

2) Pourquoi devraient-ils, eux, connaître la quiétude du silence ? Je dois revenir, Trouver un autre moyen, Ne pas laisser me chasse si facilement. Je ne les chasse pas avec des pierres. Il faut apprendre. Je n'en ai pas fini avec eux. La terre est là qui demande son cri. Je doit être évident. Imposer le chant. Ne pas abdiquer. Pas encore. Il est encore des combats que je peux livrer.

3) Il n'y a plus rien. Du sang éparpillé sur la terre. Ta tête hirsute a explosé dans un dernier rire de métal. Ta tête a explosé au ciel, maculant les étoiles de ton sang d'aliéné. Je vais te ramener quand même. Je te prends avec moi. Je ne te laisserai pas. Il faut que je te montre aux hommes. Leur montrer le cri. Brandir devant eux ta bouche éventrée. Je vais ramener le cri. Pour que la guerre cesse à jamais.

4) Accrochés à des paquets de terre. Des bouts de viande disloquée. Est-ce possible que ce soit là tout ce qui reste d'un homme ? Est-ce possible que l'explosion l'ait déchiré en lambeaux ? Il est plus malin que cela. Plus rapide que les bombes. Ca ne peut pas être lui . Il doit être quelque part en train de courir. Je ne tarderai pas à l'entendre crier. Il doit être quelque part en train de rire de son cri de bête.

5) Nous étions tous autoure de Marius et c'est là que nous avons entendu. Le cri d'autrefois. Exactement comme avant la pluie d'obus. Poussé a nouveau depuis les terres des tranchées. Nous avons entendu le cri de l'aliéné et nous n'en revenions pas. Et puis mes yeux sont revenus à Marius.

6) Son cri Impossible...Je me suis trompé...Aucun d'obus ne peut le tuer...Son cri... Plus forrt que moi...Il court encore...Les fils barbelés ont retrouvé leur papa... Le cri de l'homme cochon...Fils de la guerre... Plus fort que moi...

7) Je connais des lieux sûrs ou aucun ennemi ne pourra t'atteindre. La guerre, une fois là-bas, te semblera une douce rumeur. Je te confierai aux montagnes qui m'ont vu n'aître. Tu sras bercé par le cri des singes hurleurs de mon enfance. Tu n'as pas de crainte à avoir. Aucun poids ne peut plus entamer mes forces. Nous y serons bientôt.

8) La terre me glisse entre les doigts. Je la lisse. Je l'enfonce. Je lui donne le visage du gazé. Mes mains ne s'arette pas de glisser d'un bout à l'autre de ce grand corps de boue informe. Je ne pousserai plus aucun cri. Les hommes du village sont sourds et je n'ai pas la force qu'il faudrait.

9) S'appuyant de toute la force de ses bras sans que l'on sache si cest pour s'extraire de la boue ou pour ne pas y être absorbé. Il a la tête dressé vers le ciel. Bouche grande ouverte pour laisser sortir son cri de noyé. Calme toi, le gazé, je te fais une stèle à ta taille. Pour que tu ne sois pas oublié. Tu peux te taire maintenant et mourir car, par cette statue embourbée dans la terre, tu cries à jamais. J'ai travaillé toute la nuit.


merci :)

1 Réponse

  • 1) Lorsque la pierre m'a heurté le front, j'ai entendu les voix des villageois qui m'entouraient. '' Que veut-il ?'' '' C'est un fou.'' J'ai entendu le danger que j'étais. '' Maraudeur.'' '' Chassez-le.'' Et puis d'un coup une voix plus forte que les autres ont crié : '' C'est un déserteur!'' Et les pierres se sont faites plus nombreuses. Comme une pluie drue que je ne pouvais éviter.
    Les cris viennent d'un habitant du village pour le signaler en tant que déserteur afin qu'il se fasse arrêter

    2) Pourquoi devraient-ils, eux, connaître la quiétude du silence ? Je dois revenir, Trouver un autre moyen, Ne pas laisser me chasser si facilement. Je ne les chasse pas avec des pierres. Il faut apprendre. Je n'en ai pas fini avec eux. La terre est là qui demande son cri. Je dois être évident. Imposer le chant. Ne pas abdiquer. Pas encore. Il est encore des combats que je peux livrer.
    Le cri représente la défense de ce soldat

    3) Il n'y a plus rien. Du sang éparpillé sur la terre. Ta tête hirsute a explosé dans un dernier rire de métal. Ta tête a explosé au ciel, maculant les étoiles de ton sang d'aliéné. Je vais te ramener quand même. Je te prends avec moi. Je ne te laisserai pas. Il faut que je te montre aux hommes. Leur montrer le cri. Brandir devant eux ta bouche éventrée. Je vais ramener le cri. Pour que la guerre cesse à jamais.
    Le cri vient du soldat qui revendique la liberté

    4) Accrochés à des paquets de terre. Des bouts de viande disloquée. Est-ce possible que ce soit là tout ce qui reste d'un homme ? Est-ce possible que l'explosion l'ait déchiré en lambeaux ? Il est plus malin que cela. Plus rapide que les bombes. Ça ne peut pas être lui . Il doit être quelque part en train de courir. Je ne tarderai pas à l'entendre crier. Il doit être quelque part en train de rire de son cri de bête.
    Il espère entendre son ami crier pour lui prouver qu'il n'est pas mort

    5) Nous étions tous autour de Marius et c'est là que nous avons entendu. Le cri d'autrefois. Exactement comme avant la pluie d'obus. Poussé a nouveau depuis les terres des tranchées. Nous avons entendu le cri de l'aliéné et nous n'en revenions pas. Et puis mes yeux sont revenus à Marius.
    Le cri du soldat fou

    6) Son cri Impossible...Je me suis trompé...Aucun obus ne peut le tuer...Son cri... Plus fort que moi...Il court encore...Les fils barbelés ont retrouvé leur papa... Le cri de l'homme cochon...Fils de la guerre... Plus fort que moi...
    Le cri du soldat fou qui n'est pas mort

    7) Je connais des lieux sûrs ou aucun ennemi ne pourra t'atteindre. La guerre, une fois là-bas, te semblera une douce rumeur. Je te confierai aux montagnes qui m'ont vu naître. Tu seras bercé par le cri des singes hurleurs de mon enfance. Tu n'as pas de crainte à avoir. Aucun poids ne peut plus entamer mes forces. Nous y serons bientôt.
    Le cri des singes qui lui rappellent son enfance

    8) La terre me glisse entre les doigts. Je la lisse. Je l'enfonce. Je lui donne le visage du gazé. Mes mains ne s’arrêtent pas de glisser d'un bout à l'autre de ce grand corps de boue informe. Je ne pousserai plus aucun cri. Les hommes du village sont sourds et je n'ai pas la force qu'il faudrait.
    Le cri viendrait de l'auteur du texte, qui se meurt

    9) S'appuyant de toute la force de ses bras sans que l'on sache si c'est pour s'extraire de la boue ou pour ne pas y être absorbé. Il a la tête dressé vers le ciel. Bouche grande ouverte pour laisser sortir son cri de noyé. Calme toi, le gazé, je te fais une stèle à ta taille. Pour que tu ne sois pas oublié. Tu peux te taire maintenant et mourir car, par cette statue embourbée dans la terre, tu cries à jamais. J'ai travaillé toute la nuit.
    Le cri du soldat qui est en train de mourir et de s'enfoncer dans la boue

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